Les Djiboutiens de Poitiers face au Covid-19.

Logo de l'Amicale ADDIS

«Le comportement peu citoyen, voire suicidaire, de certaines personnes inquiètent

sérieusement leur entourage...»

La petite communauté djiboutienne de Poitiers, composée d’une quarantaine de familles et d’étudiants, est relativement impactée par le Covid-19 ces dernières semaines.

Les dirigeants de l’Amicale ADDIS (Amicale des Djiboutiens pour le Développement, l’Intégration et la solidarité) lance un appel pressant à l’ensemble de la communauté exhortant celle-ci à redoubler de vigilance et, de respecter rigoureusement les gestes barrières recommandés par les autorités sanitaires françaises.

Le comportement suicidaire enregistré auprès de certaines personnes contaminées, refusant de respecter scrupuleusement la distanciation sociale et les délais de confinement – entre autres mesures de précaution -, met incontestablement en péril la vie des autres. Il est de la responsabilité de tous et de chacun, de se protéger et de protéger les autres. Inutile de s’inviter chez autrui, même quand on est un simple cas--contact tant que les covid-tests n’auront pas révélé des résultats négatifs.

Après avoir partagé un dernier repas avec ses disciples, Jésus leur a dit «Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé... ». Les Djiboutiens de Poitiers peuvent continuer à «s’aimer les uns les autres», sans se voir physiquement, ni se mettre en danger de mort!

Le Bureau exécutif de l’Amicale ADDIS insiste sur le caractère impérieux, de la vigilance qui doit être de rigueur chez les Djiboutiens, pour lutter efficacement contre la propagation du Covid-19. Il remercie celles et ceux qui ne ménagent aucun effort pour gérer au mieux les contacts humains, de manière à réduire sensiblement les risques de contamination.

Le Bureau